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Ma femme se fait troncher par des loubards. Par Félix 28 ans.

 

C'est avec deux mains que j'ai pris le courage de vous écrire tellement je suis dépassé par les événements du mois dernier. Je me présente: Félix, je suis africain, j'ai vingt huit ans, 1m70, teint clair, joli garçon. Je suis marié à une blanche, Suzanne, plus âgée et plus grande que moi, trente-deux ans et 1m75, blonde et belle comme une déesse. Après cinq années d'aventures estudiantines en France, c'est la "rose" monégasque que j'ai pu décrocher avant de retourner dans ma Côte d'Ivoire natale à Abidjan où j'exerce la fonction de grand comptable dans une banque de la place. Avec ma "rose", nous avons fait deux superbes enfants: une fille de cinq ans et un gospillon de trois ans. Ma femme est professeur dans un lycée. Après les cours, automatiquement elle vient à la maison.

 

Avec ces Noirs, je ne fais confiance à personne; même pas le plus petit des gamins de sa classe. Ces salauds qui passent leur temps à mater les cuisses de votre femme, qu'elle soit institutrice ou prof, ils ont toujours cette idée de lui défoncer le cul. La mienne enseigne en Terminale; alors il y a de quoi vraiment se méfier. Ma femme est si belle, je la surveille toujours de près, au risque qu'un autre ne la croque. Il m'arrive parfois de sortir avec des amis pour nous éclater en ville. Nous nous rendons visite mutuellement. Mais ma femme ne s'y est jamais mêlée. Samedi dernier, c'était l'anniversaire de la femme d'un ami. J'ai voulu y aller seul mais mes amis m'ont reproché de toujours ignorer ma femme. Et Suzanne en a profité pour me reprocher d'avoir une maîtresse dehors. Pour lui prouver mon amour, j'ai décidé ce soir-là de sortir avec elle. A cette occasion, je lui ai fait porter une mini flottante, une jupette de salope qui lui arrive à mi-cuisses. Le haut est un caraco largement échancré avec un décolleté vaporeux, ce qui permet d'exposer ses gros seins fermes dont les bouts pointent comme de véritables radars. C'est surtout à cause de cette richesse sexuelle de ma nana que je ne veux pas que l'on s'approche. Je vous jure, je suis le seul à profiter de ce merveilleux corps précieux, potelé, évasé au niveau du bassin. Un derrière africano-occidental, c'est à dire que les fesses sont bien développées. Ses jambes sont bien fuselées. Elle est très souple avec des seins à faire bander un mort. Ce que j'aime le plus en elle, c'est sa façon de faire l'amour. Elle a une chatte vibratoire, des lèvres ourlées, développées, et qui vous serrent bien la bite en mouvement. Un con qui lubrifie abondamment. Elle peut baiser comme moi plus de deux heures sans repos. C'est une nymphomane que j'adore. Vous comprenez pourquoi je suis jaloux.

Il y a six couples au total à l'anniversaire. J'ai été l'unique cavalier de ma belle Suzanne. De temps à autre je passais ma main par dessous le coton de sa jupette pour pétrir les fesses de ma douce, surtout au cours des slows. Tout le monde s'est dispersé, mais François, un ami du quartier, sa femme Brigitte, tous deux la trentaine, Bernard, un collègue de ma boîte et sa femme Laurence, trente sept et trente trois ans, tous les six nous avons décidé de finir la soirée dans un night-club, " L'Image" . Il faisait une telle chaleur alcoolisée que nous sommes restés en petite tenue.

Ma femme a ôté son veston pour ne garder que sa jupette et son caraco dont l'échancrure attirait les petits loubards du coin. Moi je n'avais encore rien remarqué. La boisson aidant, chacun des trois couples a continué à danser sans gêne. Sous la lumière tamisée de la boîte j'ai pressé, caressé, pétri, et même doigté Suzanne qui a commencé à fondre dans mes bras. J'ai même sorti ma pochette pour lui essuyer discrètement la mouille que le perméable string n'a pu éponger, lorsque l'on a regagné nos places respectives. Du coup, une charmante demoiselle m'a invité à danser. Pendant que je m'éclipsais dans un slow, son mec, que j'avais remarqué avant, s'est approché de ma femme: "Jolie dame, vous voyez que votre mec m'a piqué ma cocotte, pourriez vous danser avec moi?" Ma Suzanne, après une hésitation, s'est levée, aidée par le mec, elle n'a même pas eu le temps de prendre son veston; ses seins jusqu'aux gros bouts largement auréolés se voyaient par l'entrebâillement de son caraco. Quand elle s'en est aperçue, il était déjà trop tard. Un jeune de rien du tout, vingt trois/vingt quatre ans, l'a attirée dans ses bras où elle s'est laissée blottir, peut être sous la pression du jeune. J'ai voulu contester leur danse mais la demoiselle m'a dit: " Oh, écoute, laisse les comme ça. Ces jeunes là n'aiment pas qu'on leur fasse ce coup. Juste un slow et ta "mémé" va regagner sa place." Mêlant le geste à la parole, la gonzesse m'a serré contre elle en se frottant à mon bas-ventre. J'ai failli jouir sur le champ. Mes autres compagnons sirotaient paisiblement leur boisson. Une fois de plus la lumière a été réduite pour ne devenir qu'une simple lueur. Je voyais à peine ma cocotte dans les bras du jeune homme, les seins carrément écrasés contre la poitrine de celui ci. Quelques instants après, le jeune homme a fait signe à son pote d'à côté et a laissé ma femme dans les bras de ce dernier qui paraissait plus grand et musclé, exactement l'un des loubards du coin. Suzanne n'a pas eu le choix et s'est laissée entraîner par les pas de danse du "gros bras". Je ne pouvais rien faire d'autre que d'attendre la fin du slow pour disparaître avec ma dulcinée à la maison. Mais les choses ne se sont pas passées comme ça. Le slow paraissait plus long. A un certain moment j'ai vu le loubard qui entraînait Suzanne vers un coin encore moins éclairé de la piste de danse. Tous ces petits loubards se sont mis à danser autour d'eux avec leur cavalière. Plus ils dansaient, plus ils coinçaient Suzanne à son cavalier. J'ai cru que ça se limiterait à un slow mais c'était une série de slows. Les lumières à peine amplifiées, j'arrivais maintenant à distinguer le loubard qui caressait les fesses de Suzanne contre son gré. Il avait une cicatrice sur le font. Il sortit un sein de l'échancrure du caraco de Suzanne et aussitôt se pencha pour en sucer le bout. Elle se débattit faiblement et se mordit les lèvres. Deux jeunes gens se sont approchés et l'un d'eux a mis carrément les mains aux fesses de ma chère femme en l'enserrant par derrière pendant qu'elle faisait face à son cavalier qui prit plaisir en investissant le corps de ma douce. Le troisième est venu serrer les trois ensemble en tournant le dos à la piste principale. Je ne voyais plus maintenant ce qui se passait. Lorsque le troisième s'est écarté pour rejoindre son groupe, j'ai vu que la main du cavalier de Suzanne était dans son string. Je n'en revenais pas. Ma femme depuis longtemps réservée se faisait masturber par un voyou. Excité, il s'apprêtait même à descendre sa fermeture éclair lorsqu'à l'entrée de la boîte une bagarre se déclencha et atteignit bientôt toute la salle. Des bouteilles volèrent par-ci, des chaises par-là. J'étais coincé avec mon groupe d'un côté, lorsque ceux de l'autre groupe où se trouvait Suzanne se sont rués dehors pour se préserver des dangers. Un certain moment j'avais oublié Suzanne car la bagarre évoluait dans un sens sérieux. Un quart d'heure après que les choses se fussent calmées, quand nous sommes enfin sortis de la boîte, je n'ai plus revu Suzanne. J'ai commencé à la chercher partout. Ceux avec qui on était venus avaient eu peur et étaient rentrés chez eux.

Aidé par ma cavalière qui était peut-être complice de l'enlèvement de ma femme, nous avons longé le chemin. Après trente minutes de recherches, j'ai retrouvé Suzanne transformée en pute, au service des loubards. En classique levrette pendant qu'elle suçait le premier, le second l'investissait en toute tranquillité tandis que deux autres voyous se branlaient autour du groupe. Je voyais nettement la grosse pine du loubard, deux fois plus grosse que la mienne, qui allait et venait en elle. Une pine qui, à vue d'œil , contrastait avec les grosses lèvres vaginales de Suzanne. Elle y prenait goût. Depuis le temps qu'ils étaient sortis de la boite, ils avaient déjà du tous la baiser. Sous l'effet de l'émotion, ma cavalière a eu le temps de me débraguetter et d'engloutir ma bite dans sa profonde gorge. Après avoir joui dans sa bouche, j'ai libéré ma femme et nous sommes rentrés.

Depuis ce jour, le comportement de ma femme a changé. Elle sort très régulièrement sous prétexte de réunions scolaires et rentre souvent très tard. Un soir je suis resté éveillé et je l'ai vue sortir d'une 205 GTI, et, le chauffeur, jeune, est sorti pour l'embrasser avant de repartir. Apparemment ma femme se fait toujours troncher, sans aucun doute par les mêmes loubards. Je l'aime toujours et je veux me la garder pour moi tout seul.

 

 

 

 

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