Dressage en couple et cocufiage. | Par Christine 32 ans. |
Loïc et moi, nous formons
un vrai couple depuis dix ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et je
prends plaisir à le sucer autant qu'à me faire sucer et enculer.
Mais dernièrement, tout a basculé suite à une fanfaronnade
de sa part. "Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée
sans que je débande !" Prétendait-il.
Moi, je doutais un peu. Loïc m'a limée longtemps, très longtemps,
avec sa queue bien droite et fine, mais pas durant une heure. Total : j'ai eu
le droit de lui demander ce qui me plaisait.
- Loïc, je vais t'habiller en femelle, et tu m'obéiras en tout !
Tu seras ma petite pute à queue !
Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout,
et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré
un slip en dentelles sous son nez. Une fois en érection maximale, j'ai
accroché le slip au bout de sa bite, pour l'humilier. "Ta queue
est raide comme un portemanteau", lui ai-je dit. Alors Loïc a rougi
comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités,
et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour de la queue
de mon homme.
J'ai cisaillé son membre en tirant le slip par les deux bouts. Loïc
gémissait et me demandait d'arrêter. "Non, tu dois m'obéir
en tout! ". II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre
à quatre pattes. J'ai léché son anus, en le félicitant
de sentir si bon, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique.
Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, Loïc
couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété
avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené
devant la glace, et là je l'ai peloté. II bandait si dur que mon
pauvre petit slip était prêt à se déchirer.
Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de
bambou, et je lui en ai donné vingt coups sur le cul. Loïc se trémoussait,
de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée,
le temps de me mettre nue. "Loïc, vilain petit chien, lèche
ta maîtresse !" II a dû faire le beau entre mes cuisses et
me donner de grands coups de langue dans la chatte.
J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès
facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai
posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave. "Suce et lèche,
petit sale, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ".
Loïc a obéi, pour la première fois sa langue glissait dans
mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à
deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je
me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé
ce petit sexe en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux,
alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts, et j'ai joui.
Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée
à temps pour pose ma fente sur la bouche de Loïc et lui ordonner
de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé
une caresse sur la joue.
Plus tard, Loïc a reçu
l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain,
le tout en petite tenue. II était mignon, son cul moulé par mon
slip de dentelle, sa queue en érection grimpant jusqu'au nombril, et
ses cuisses musclées gainées de nylon. J'ai passé l'inspection,
déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups
de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très
dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à
l'état de soubrette. J'ai dégrafé son soutif et sucé
ses tétons qui ont durci. Alors je les ai cinglés avec l'extrémité
du manche, et cette fois Loïc s'est écroulé à mes
pieds. II m'a supplié d'arrêter.
Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui
ai retiré son slip, j'ai retroussé son prépuce, et j'ai
sucé son gland. Je titillais le méat du bout de ma langue, et
puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que les
couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée
mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa bite luisante de
salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à
me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué
et m'a fait jouir très fort.
Depuis ce jour, Loïc me supplie de le travestir en femme et de le commander.
II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter),
et accepte sans rechigner de se mettre au service de mes amies intimes.
Dernièrement
avec mon amie Brigitte, nous avions passé l'après midi à
nous distraire avec Loïc. Il avait d'abord fait le ménage en tenue
de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre.
(Brigitte est une superbe blonde de 30 ans très portée sur les
femmes) ensuite nous avons "inspecté" le travail effectué
par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein
de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition
de 50 coups de cravache. Loïc voulu discuter comme quoi c'était
trop, mais Brigitte lui dit "Un mot de plus et ce sera 100 coups"
il se tût immédiatement et sur mon ordre se mit en position sur
"le punissoir". Il s'agit d'un tréteau assez haut au-dessus
duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées
aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. Son
cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies
de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet
"accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit.
Une
fois encore nous avons eu la preuve que mon esclave était excité
par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la
dimension de son engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)
Avec Brigitte nous nous sommes partagé les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Loïc au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber son cul bien zébré.
Au cours de la discussion, Brigitte me dit soudainement "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prenne un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire." Je n'avais jamais pensé à ça jusque là, mais cette idée me fit aussitôt mouiller. Je répondis aussitôt "C'est un bonne idée que tu as là."
En tournant la tête
vers le coin où Loïc était en pénitence, je lui dit
de venir à mes pieds. Je n'étais pas certaine encore de vouloir
risquer mon mariage (j'aime toujours beaucoup mon mari) mais alors que mon esclave
arrivait vers moi à 4 pattes, la tête baissée, je vis qu'il
avait recommencé à bander. Le petit salaud, il bandait alors qu'on
était en train d'évoquer l'idée de le faire cocu.
Brigitte ne manqua pas de remarquer cet état de fait et déclara
"Et en plus ça fait bander ta lopette de savoir qu'il va être
cocu." Je m'adossais au canapé en ouvrant mes cuisses au maximum
et j'ordonnais à Loïc de nettoyer ma chatte trempée à
l'idée des grosses bites qui allaient bientôt la défoncer.
Sans un mot, il se mit à l'ouvrage alors que Brigitte évoquais
des amis à elle très bien montés qu'elle pourrait me présenter.
Je commençais à mouiller comme une fontaine sous les coups de
langue de mon soumis. Brigitte se positionna derrière Loïc qui,
à 4 pattes, exhibait son cul rougi et elle lui massa la rosette avec
du gel avant de lui entrer un petit vibro dans le cul. Durant toute l'opération
Loïc continuait son travail de léchage et j'approchais doucement
de l'orgasme. Brigitte continuait durant tout ce temps à faire des commentaires
salaces qui ne faisaient que m'exciter davantage : "Et puis s'il est sage
ce cocu, il aura le droit de préparer ta chatte pour tes amants."
Elle se mit alors à pistonner l'anus de Loïc vigoureusement tout
en lui effleurant les couilles de ses ongles en continuant à m'exciter
"Tu vois chérie, quand tu auras trouvé quelques amants vigoureux,
ta vie sera parfaite : satisfaction sexuelle garantie et un petit toutou soumis
pour t'entretenir pendant ce temps." Au même moment j'explosais en
arrosant le visage de mon esclave de mon jus et lui se répandit misérablement
sur le tapis. Nous l'avons insulté de s'être laissé allé
comme ça et remis au coin.
Lorsque Brigitte fut partie,
je me tournais vers lui et dit : "Tu vois puisque tu n'as pas pu tenir
une heure, il va falloir que je trouve quelqu'un d'autre pour ça."
Il ne dit rien et baissa la tête.
Je compris alors que l'avenir s'annonçait bien !
Je vous tiendrais au courant
de l'évolution de la situation.