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Ma femme m’éduque et m’apprend à jouir de ses aventures. (2ème partie) Par Eric 28 ans.

 

Suite à l'histoire que je vous avais fait parvenir il y a quelque mois, des personnes m'ont envoyé des témoignages ou ont entretenu avec moi une correspondance. Je les en remercie. C'est l'un de ces échanges de courriers qui m'a valu ce que je vais vous raconter ici.

Il faut tout d'abord savoir que la boite e-mail sur laquelle je reçois du courrier, n'a pas été ouverte par moi, mais par ma femme qui en détient les clefs, c'est-à-dire que c'est elle qui a le mot de passe et c'est elle qui m'autorise ou non à répondre aux courriers reçus. Elle lit par conséquent avant moi ce que les gens envoient, et si parfois j'ai le droit de lire avant elle, j'ai en revanche interdiction de le faire à partir du moment où en objet il est signalé que la lettre s'adresse spécifiquement à elle. De même, elle lit aussi les réponses qu'elle m'autorise à faire (elle rajoute des choses ou en censure d'autres, me dit de revoir ma copie, etc.)

Mais une fois, à l'un des correspondants qui se reconnaîtra, j'ai rajouté une ou deux phrases après correction sans lui en avoir fait part. Lorsque celui-ci renvoya une réponse avec ma lettre attachée en réponse comme le permet de le faire par facilité Internet, ma femme s'est rendu compte en relisant par hasard la fin de ma précédente lettre de ma "faute". Elle me suggéra alors de lui demander à lui, ce que je méritais comme punition. Sa réponse ne se fit pas attendre, et il proposa que je doive accepter que ma femme se fasse prendre devant moi, chez nous, sur notre lit conjugal. Tout simplement. A la lecture de son court texte, elle déclara sans autres ambages :

- "Bonne idée".

Puis plus rien pendant quelques temps (elle est partie en vacances entre temps, ce dont je vous reparlerais plus tard en fin de récit puis dans un autre certainement.)

Et puis la semaine dernière elle reçoit un coup de téléphone, en ma présence, où j'ai pu comprendre qu'elle avait correspondu quelques jours avec un homme pour qui elle avait un certain penchant de par notamment les avantages de constitution dont il semblait doter. En raccrochant, elle me regarda et dit :

- Ça te plairait de te voir cocu alors ?
- Pas seulement de l'imaginer ou de te l'entendre raconter ?.

Ne sachant quoi répondre j'ai dit :

- Je ne préfère pas, enfin je ne sais pas.

Tout de go elle se mit à rajouter :

- Comprends moi bien, je ne t'ai posé la question que par politesse. Tu n'as pas vraiment le choix, et je suis certaine que tu vas aimer. Allez fini la vaisselle.

Puis ce week-end, le téléphone sonne, je décroche, une voix masculine demande à parler à ma femme, mon cœur bat la chamade, c'est très rare quand c'est une voix masculine que je ne connais pas qui demande à lui parler, je lui passe le combiné, elle dit simplement :

- D'accord, je suis là pas de problème... je me mets nue ou alors tu as une préférence pour de la lingerie... ?

Elle lui donne le code de la porte, lui indique l'étage et raccroche. Elle me fait signe pendant ce temps de me déshabiller, fait de même, m'ordonne de me mettre à genoux dans un coin de la pièce les mains derrière le dos.

- Tu vas tout entendre. Tu vas le voir, pour savoir à quoi il ressemble. Puis, je vais t'attacher ce bandeau sur les yeux. Et tu vas tout entendre sans bouger.

Quelques instants après on frappe à la porte, elle va ouvrir une sorte de petit tablier autour de la taille. Il entre et la suit en lui défaisant directement le nœud du tablier pendant qu'ils se dirigent vers la chambre. Je le vois. Là j'ai eu un petit choc parce que c'est un black plutôt jeune. Elle fait comme si je n'étais pas là, elle rougit un peu, se laisse séduire, le touche un peu, puis de plus en plus, se frotte à lui. Il s'assoit sur le lit, elle s'assied collée contre lui et ils s'embrassent. Elle écarte ses cuisses pour bien me montrer qu'elle mouille. Elle met sa main sur sa braguette, en sort le sexe aux proportions très avantageuses en effet déjà complètement gonflé. Elle se plie et lui lèche les couilles, remonte sur son gland.

Pendant qu'il se déshabille, elle vient vers moi, m'entoure les yeux avec le bandeau puis descend celui-ci jusque dans mon dos et me lie les mains avec. Ensuite je n'ai plus entendu que des bruits. Des paroles assez hard, des claquements de fesses, des claquements dues aux pénétrations, aux vas et viens, des gemissements, quelques râles. Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais plus d'une heure dans sa totalité à en croire la sonnerie horaire de ma montre.

Je les ai entendus parler quelque peu, ma femme beaucoup sourire. J'ai entendu qu'ils se rhabillaient, elle est venue vers moi, a défait les liens, je ne le voyais plus dans la pièce. Elle m'a dit qu'elle allait prendre un verre avec lui, que pendant ce temps il me fallait refaire le lit correctement et rétablir le désordre qu'ils auraient pu causer. Si j'étais obéissant, j'aurai le droit de jouir comme l'autre fois avant qu'elle ne parte en vacances.

Je me suis appliqué. En effet, il y a quelques semaines au mois de juillet, elle m'annonçait un soir sans m'avoir prévenu auparavant qu'elle partait se reposer en vacances avec quelques-uns unes de ses amies dans le sud de la france. Comme je n'étais pas au courant je n'ai pas pu poser de jours de congés, et c'est donc sans moi qu'elle est partie. En abstinence depuis plus de 15 jours, j'avais essayé toute la semaine d'obtenir l'autorisation de pouvoir la pénétrer, sachant qu'ensuite, puisqu'elle partait, je ne pourrais certainement pas jouir durant toute la semaine suivante. J'obéissais à certains de ses désirs, et elle a pu s'amuser, user et abuser un peu de mon corps. Déclarant que je devais lui montrer à quel point j'étais en manque, à quel point j'étais assez salope, assez excité, à quel point je ne pouvais plus tenir, elle voulait vérifier mon état et ma soumission en me fessant, en me doigtant et en jouant-travaillant avec mes tétons.

A partir du moment ou j'acceptais plus que d'habitude, où j'en voulais plus, cela signifiait alors pour elle que mon état était acceptable et que peut-être elle pourrait consentir à l'idée de réfléchir à m'autoriser à me faire jouir... le soir avant son départ, alors que nous parlions de tout autre chose, juste avant de nous coucher, elle s'est levée du canapé, m'a ordonné de me déshabiller et de me mettre à genoux, elle a saisi sa montre, puis elle m'a donné 1 minute 30 secondes pour jouir (la dernière fois, lorsqu'elle m'avait 2 minutes pour le faire, persuadée qu'elle était que je n'y parviendrais pas, elle avait été légèrement froissée et frustrée par le fait que justement j'avais pu réussir cela même un peu pris au dépourvu).

J'avais une envie démentielle de jouir, mais cette fois-ci, surpris par cet ordre, sans préparation du tout, je n'ai pas réussi à trouver le bon rythme, j'ai eu beau réitérer mes différentes techniques des fois précédentes pour y parvenir (caressage de couilles, humidification du gland, sensibilisation du gland à l'extrême), j'étais juste parvenu sur le point de sentir monter véritablement les quelques secondes capitales avant l'explosion lorsqu'elle s'est assise devant moi m'enlevant la main de mon sexe pour stopper tout acte de masturbation. Le corps très excité et mouvementé, la frustration et le goût sexuel leur comble, j'étais devant elle, à genoux, fesses reposées sur les talons espérant une prolongation de quelques secondes. Pour mettre tous les éléments favorables de mon côté, je me suis osé à lui embrasser les pieds et à tendre mes fesses, à me cambrer comme elle aime, comme une bonne petite soubrette, une bonne petite chienne, pour montrer mon excitation.

Elle s'est assise alors plus sur le bord du canapé, je me suis remis à genoux fesses sur les talons, elle m'a empoigné la queue, a fait quelques mouvements de va et vient, avant de me présenter la paume de sa main devant ma langue en me déclarant :

- Ce n'est quand même pas moi qui vais le faire, allez lèche.

Puis de porter cette paume juste sur mon gland pour monter et descendre sa main en ne frottant que le dessous du gland. Excité et ne croyant pas ce qui m'arrivait après mon échec de tout à l'heure, je bandais à en avoir mal, je sentais mes couilles pleines, j'espérais qu'elle ne s'arrêterait pas. Lorsqu'elle s'est approchée de mon oreille pour me dire quelque chose, j’ai cru qu'elle allait m'annoncer que je ne jouirais pas ou qu'il ne me restait que quelques secondes. En fait elle m'a dit tout bas :

- Imagine à quel point tu vas être cocu pendant ces quelques jours de vacances.

J'ai immédiatement giclé, me vidant totalement sur les cuisses et les couilles à gros jets de sperme.

Depuis j'ais reçu l'interdiction de jouir avec ordre formel de ne pas me toucher, tant qu'elle ne reviendrait pas.

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