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Le jour où tout a basculé. Par Patrick 41 ans

 

C’est à partir du week-end du 15 août 1999 que nos relations avec ma femme Isabelle et moi Patrick n’ont plus été les mêmes. Ce jour là lors d’une flânerie sans but précis avec ma femme, nous tombâmes sur un club non conformiste que nous ne connaissions pas. Il était ouvert et n’ayant rien à faire nous décidâmes ds’y entrer.

Dans ce club après les vestiaires, on passe obligatoirement par le bar. Il était impossible de ne pas voir une blonde agenouillée qui suçait un black confortablement assis dans un fauteuil. Nous nous installâmes un peu plus loin et remarquions qu’un autre couple regardais la scène, elle une ravissante brunette la trentaine et lui la cinquantaine bedonnante, un peu plus loin une grande rouquine ne perdait rien de la fellation.

Le noir dit quelque chose à la blonde qui se releva aussitôt puis fit un signe à la rouquine qui prit instantanément la place. Sachant que l’un des grands fantasmes de ma femme c’est de faire l’amour avec un noir, je lui chuchotait à l’oreille « tu aimerai bien être à sa place », elle rit et continua à siroter son whisky coca. Puis la blonde apporta un verre au black qui lui pelota les fesses pour la remercier, une claque sur la croupe lui intima l’ordre de disparaître. Tel un pacha il buvait à petite gorgée pendant que la rouquine suçait goulûment son énorme sexe, il lui fit lécher ses couilles puis resucer sa bite ; docilement elle exécutait tous ses caprices. Il lui dit quelque chose et comme la blonde, elle se releva et il fit un signe à la brunette qui se précipita d’ouvrir une large bouche pour engloutir ce membre qu’elle convoitait depuis un bon moment. Comme tout à l’heure la rouquine lui apporta un verre, il lui doigta l’anus pour la remercié puis lui fit sucer son doigt et une tape sur la croupe lui ordonna de s’éloigner. Comme précédemment il buvait à petite gorgée, la brunette suçait avidement. Je demandais à ma femme "S’il te fait signe tu y va" ?, elle me répondit "D’après toi" ? La brunette s’appliquait sur sa fellation, quand ma femme me dit « demande lui s’il veut venir dans une cabine ». Je me levais pour lui faire ma requête, pendant ce temps ma femme partis chercher une cabine libre. Ma demande l’intéressa et dit à la brunette "Allez, c’est fini, j’ai une urgence".
Il me suivit et je le fit entrer, au moment où moi j’allais entrer, ma femme me repoussa en me disant "Toi tu attends à la porte".
Je fus surpris, c’était la première fois, nous avions eue quelques expériences de trio mais à chaque fois je participais. Ma femme étant autoritaire je savais qu’il était inutile d’insister. Un peu revenu de mes émotions je me précipitais dans la cabine d’à coté. Hélas pas une ouverture pas même un trou minuscule me permettant de voir la scène, j’entendait seulement des gémissements de plaisir. J’attendais depuis un bon moment dans la cabine, quand je repris tout à fait mes esprits et décidait de visiter le club. Deux cabines plus loin j’observais une scène étrange, un homme obèse et dégarni léchait les pieds d’une femme mure encore bien conservée qui suçait avidement un jeune black. En retournant vers le bar j’aperçu la blonde et la brunette en train de se gouiner et dans un coin du bar ; la rouquine taillait une pipe au mari de la brunette. Je décidais donc de prendre une consommation au bar. Le barman m’appris que le black, c’était un antillais qui s’appelais Bernard ; qu’ici c’est un dieu, toutes les femmes en sont folles et qu’il est capable de combler une douzaine de femmes dans la nuit. Ce n’était pas pour me rassurer, la façon dont ma femme m’avait jeté me chagrinait et je gambergeais. Je décidais de retourner voir si ils avaient finit, à peine arrivé à la cabine, la porte s’ouvrait et ma femme me dit "Nous allons au bar, commande une bouteille de champagne". Je revins avec un magnum et 3 coupes, j’allais commencer à servir la troisième flûte quand Isabelle retourna la coupe et dit "Toi ton champagne il est là" en écartant les cuisses. Sa chatte dégoulinais de sperme j’étais ébahi tellement il y en avait, quand ma femme insista "Allez, lèche moi la chatte". Je m’exécutais et léchais sa chatte ruisselante de sperme. Quand Isabelle me dit "Alors chéri, il est bon le sperme de Bernard" ? J’allais répondre quand elle m’appuya sur la tête en disant "continue de lécher ! Je ne t’ai pas dit d’arrêter". J’étais terriblement humilié, Isabelle le sentait et prenait plaisir à augmenter la dose par ses commentaires du genre "Jamais un homme ne m’a comblé comme toi Bernard" ou "J’aime bien ta façon de me caresser les seins, tu as les mains douces". Je les entendais se bécoter quand Isabelle me dit en repoussant ma tête de la main "Ça suffit ! Sert nous du champagne". Pendant que je servais, Isabelle masturbait Bernard qui appréciait car son énorme sexe gonflait à vue d’œil. Ils trinquèrent tous les deux, s’embrassèrent sur la bouche et se levèrent. Aussitôt ma femme m’intima "Toi tu reste ici" ! et ils disparurent vers les cabines. Tel un automate j’obéis, j’étais abasourdi jamais Isabelle ne m’avait traitée comme ça. Je ne sais depuis combien de temps j’étais assis sur le canapé quand l’obèse, sa femme et le jeune black s’installèrent presqu’en face. L’obèse tenait la main de sa femme quand celle ci se faisait baiser par le jeune black puis celui ci entrepris de la sodomiser et de se soulager dans son cul. L’obèse se contentait de regarder sa femme prendre du plaisir et quand celle ci fût contentée par son jeune amant, elle tendit un pied ; l’obèse se précipita pour lui lécher les orteils. C’est au même instant qu’Isabelle et Bernard revinrent. Aussitôt installé ma femme m’ordonna "Sert nous du champagne" ! Sans s’occuper de moi elle roucoulait avec son amant, quand ils prirent conscience de la scène qui se déroulait juste devant leurs yeux. La femme leurs adressa "Un amant vigoureux pour satisfaire votre sexualité et un mari soumis pour satisfaire vos caprices ; c’est le cocktail idéal pour nous les femmes". Isabelle répondit "C’est agréable de se faire lécher les pieds" ? "Oh très agréable, c’est génia". Aussitôt ma femme ordonna "Tu as entendu, aux pieds" ! J’étais dans un tel état de trouble que je m’agenouillai et léchai ses pieds. Les deux couples sympathisèrent et ma femme les invita à prendre un verre à la maison. Pendant le chemin du retour je fis office de chauffeur, Isabelle suçait Bernard sur le siège arrière. A la maison je repris mon emploi de "domestique", la soirée se termina tard et ma femme m’ordonna "moi je vais me coucher avec Bernard, toi tu dormira dans la chambre d’ami, mais avant tu range tout et pour demain c’est petit déjeuner au lit avec pains au chocolat et brioches chaudes"ss.
A partir de cette soirée tout changeât entre ma femme et moi. Nous somme divorcés depuis un ans.

 

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