Ma femme m’éduque et m’apprend à jouir de ses aventures. (3ème partie) | Par Eric 28 ans. |
Quelques changements dans notre vie de couple sont intervenus depuis la dernière fois où j’ai écrit sur le site. Désormais, mon épouse part après son travail tous les vendredi soir avec un amant régulier, et elle sort systématiquement tous les samedi sans jamais rentrer avant le dimanche dans l’après midi. Il arrive qu’elle combine ses deux sorties, puisqu’elle m’a laissé entendre que les quelques fois où elle n’était pas rentrée du week-end c’est qu’elle était restée en fait avec son amant régulier pour partir plus loin ou organiser des choses plus convenablement que pour une seule soirée. Ainsi, il arrive que du vendredi matin où elle s’en va pour travailler au lundi soir où elle revient à la maison (puisqu’elle va directement à son travail le lundi sans passer chez nous lors de ces longs week-ends), je ne la vois pas du tout. La semaine s’orchestre donc en fonction de cette vie. Un emploi du temps se dégage petit à petit. Le lundi soir je dois désormais la détendre (massage, toilette intime, etc), le mardi est consacré à la venue de son amie qu’elle avait rencontré par le biais d’internet, elles discutent du week-end de ma femme sans épargner un seul détail pendant que je fais le ménage ou pendant qu’elles m’obligent à écouter sans avoir le droit de ne rien dire ou de ne rien faire sinon les servir (à manger, à boire, allumer les cigarettes, etc), le mercredi elle va dans diverses soirées auxquelles certaines rencontres de ces week-end précédents l’ont invitée, elle rentre toujours la nuit, parfois je me dois de l’y accompagner et/ou de retourner la chercher mais sans jamais dépasser le pas de la porte, le jeudi m’est entièrement consacré puisque je peux décider de notre programme de la soirée sans jamais cependant évoquer aucun aspect sexuel, le vendredi elle sort avec son amant, et en fonction de leur emploi du temps soit elle rentre le lundi, soit elle sort le samedi sans que je ne la voie jamais avant le dimanche soir. Si elle a décidé de ne pas rentrer seule le dimanche alors je dois dormir dans le salon.
Beaucoup de ses aventures se déroulent chez nous désormais
depuis le gage du dernier correspondant. Un samedi soir, où nous avions
prévu de sortir, Laure était en train de se préparer
dans la salle de bain quand elle reçut un coup de téléphone.
Dès qu’elle a raccroché elle m’appela.
- J’ai réfléchi à notre soirée et j’ai
décidé de sortir seule. Tu m’attendras à la maison.
(long moment silencieux) Tu sais j’ai envie de m’éclater
ce soir, et je crois que ça serait mieux pour moi, et pour toi surtout,
que tu ne sois pas avec moi. En fait, tu sais ce beau mec que je t’ai
montré plusieurs fois et qui travaille au club, et bien il fête
ce soir son anniversaire avec quelques amis et il m’a demandé
si je voulais venir.
- J’espère que cela ne te contrarie pas ? je veux t’entendre
me dire que cela ne te dérange pas.
Elle me regardait dans les yeux.
- Baisse les yeux et dis-le.
- Si ça te fait plaisir ça ne me dérange pas.
- Bien, tu vois tu l’avoues toi-même que c’est mieux ainsi.
Puis elle fila dans la chambre et revint avec quelques vêtements dans
les bras.
- J’ai une folle envie de faire l’amour, et si je m’écoutais
mon chéri je te demanderais de me prendre tout de suite ici, mais je
ne voudrais pas être trop fatiguée si tôt. J’essaierai
de ne pas rentrer trop tard, mais ne m’attends pas pour t’endormir.
Je crois bien en plus que je serai sur les genoux à mon retour.
Laure ne prenait aucune précaution pour cacher ce qui allait sûrement
lui arriver durant cette soirée. Je ne pus m’empêcher de
la questionner :
- Tu as l’intention de te le faire type ce soir ?
- Tu es bien indiscret ! Allez ne fais pas ton jaloux, je sais bien que ça
t’excite aussi, n’est-ce pas ? Je crois en effet que ça
devrait bien se passer, si j’en crois les petites allusions qu’il
me fait à chaque fois que je passe au club. Ce type est vraiment très
beau en plus, et a un corps parfait. Tu ne voudrais pas que je m’en
prive quand même ? Il passe me chercher dans trente minutes, ça
me laisse tout juste le temps de t’installer. Je sais que tu vas te
branler pendant mon absence en pensant à tout ce que je vais faire
cette nuit et je serai encore plus excitée si je sais que tu passes
vraiment une salle soirée pendant que je m’amuse à me
faire draguer. Déshabille toi, je vais te mettre la ceinture.
La sonnette de l’entrée retentit.
- Je te souhaite une bonne soirée. J’espère que tu penseras
à moi très fort lorsque je danserai, lorsque j’offrirais
ma langue et qu’on me caressera les seins à travers mon chemisier.
Peut-être que j’aurai une pensée pour toi lorsque j’attaquerai
une fellation comme tu les aimes, mais je serai peut-être trop absorbée
par ma tâche pour penser à toi. Par contre je t’aurais
sûrement oublié quand on baisera comme des fous… J’irai
me coucher tout de suite par contre. Et je veux la chambre pour moi. Tu restes
dans le salon et tu ne te lèves pas quoi qu’il se passe lorsque
je rentre. A demain matin alors. Je ne t’embrasse pas ça va enlever
mon rouge à lèvres.
Je me mis à regarder la télévision, pas mal de choses
se passaient dans ma tête. Vers une heure je me couchais sur le canapé.
Quelques heures plus tard, j’entendis la porte de notre appartement
s’ouvrir. Je compris très rapidement que Laure n’était
pas seule car il y eut pas mal de bruit.
Elle arriva.
- Il est 5 heures, je ne te réveille pas j’espère ?
Elle se planta devant moi. Elle avait les traits fatigués mais les
yeux étincelants. Son chemiser était ouvert et elle ne portait
plus son soutien-gorge. Elle avait déjà un verre à la
main et semblait un peu ivre. Elle m’embrassa à pleine bouche
en me serrant fortement mon sexe et mes testicules dans sa main libre.
- Si tu savais ce que j’ai pris ce soir ! Et ce n’est pas fini.
Ce type est un fou de sexe et il n’a pas cessé même pendant
que ses invités étaient là. On a passé une soirée
géniale. Il faut que j’aille le rejoindre, je lui ai juste dis
que je m’absentais 5 minutes. Je dois lui tenir une promesse, tu sais
laquelle ?
Je répondis non de la tête.
- Et bien je lui ai promis qu’il pourrait me baiser dans mon lit conjugal,
et cela a semblé lui plaire beaucoup. Tu peux pas imaginer comme je
suis trempée. Tu vois comme je mouille ? Si tu voyais sa queue mon
chéri tu serais vert de honte. Il m’a dit que j’étais
une vraie chienne. Tu t’en doutes qu’il a déjà eu
le temps de me prendre par derrière. C’est vrai qu’on ne
le fait jamais, mais avec lui je n’ai pas pu me retenir, et je pense
d’ailleurs qu’on va remettre ça. Je ne veux pas t’entendre
! Il faut que j’y retourne. Je lui ai dit que mon mari rentrait vers
midi.
Elle retourna le rejoindre. Quelques rires parvinrent en premier à
mes oreilles, puis un silence relatif, duquel émergea petit à
petit des gémissements. Je crus percevoir à un moment donné
des claquements étouffés, comme ceux produits par une fessée.
Puis encore des gémissements, plus forts ceux-là. Elle criait
presque, et je pouvais entendre à sa manière d’haleter
que la fréquence imposée par l’homme était très
rapide. Le calme vint enfin. Je pouvais distinguer des paroles prononcées
à voix basse, des petits rires encore. En moi se mélangeaient
l’excitation, la douleur et la jalousie. Je pensais à ma femme
qui quelques mètres à côté de moi se plaquait contre
un autre homme. J’imaginais son corps brûlant, son sexe et son
anus remplis par le sperme d’un autre.
Ils s’endormirent. Vers onze heures, je suis sorti, fais quelques courses,
puis j’ai téléphoné pour avertir que je rentrais.
Le temps qu’il s’habille. Une fois à l’appartement,
je vis qu’il était encore là. Ma femme prétexta
qu’il avait un problème de dégâts des eaux chez
lui que du coup il y avait un vrai chantier avec ouvrier et plombier, qu’il
avait dormi sur le canapé et que si j’étais d’accord
il resterait encore une ou deux journées le temps de retrouver son
appartement en état. Cela coïncidait de surcroît avec deux
jours de congés de mon épouse…
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