Mon mari est devenu mon domestique | Par Martine 36 ans |
Chapitre I
Il ne faut pas jouer avec le feu
Je m’appelle Martine et je suis issue d’une famille très
modeste, aussi quand Julien c’est intéressé à moi
je me suis dis que c’était peut être une bonne solution
pour échapper aux fins de mois difficiles et sortir d’une quasi
misère. Julien était chef d’équipe dans une grande
entreprise, ce qui comparé aux petits boulots que ma mère faisait
pour nous élever ma sœur et moi était une très bonne
situation. De plus Julien était très attentionné avec
moi, il était plutôt mignon ; alors lorsqu’il m’a
demandé de l’épouser j’ai acceptée. Nous
étions un jeune couple uni sans enfant et sans histoire jusqu’au
jour où Julien à invité Paul son chef de service à
la maison.
Le but de ce dîner était de favoriser une promotion pour Julien.
Il m’avait recommandé de tout mettre en œuvre pour que la
soirée soit réussie. La table était prête, j’avais
mis les petits plats dans les grands, j’avais soignée ma tenue
et j’étais plutôt sexy comme me l’avait recommandé
Julien. La sonnette retenti, Julien alla accueillir son chef puis fit les
présentations. Paul était très séduisant et j’étais
terriblement troublée lorsqu’il me fit le baise main et dit "Julien
vous avez une femme ravissante".
Je commençais à servir les apéritifs dans le salon quand
Julien s’absenta pour vérifier la cuisson du rôtit. Aussitôt
Paul me complimenta sur ma tenue, j’étais sous le charme et il
en profitait pour me draguer. Puis Julien revint, la situation s’apaisa
et nous reprîmes la conversation tous les trois. L’apéritif
terminé nous passâmes à table et Julien retourna à
la cuisine, alors Paul reprit son petit manège de manière plus
appuyée. J’étais de plus en plus troublée, c’est
toujours valorisant pour une femme de se faire draguer par un très
bel homme. Enfin Julien reprit place parmi nous mais Paul me lançait
des regards de braises qui en disaient long sur ses intentions. A chaque fois
que Julien allait chercher les plats Paul se faisait de plus en plus pressant.
Je dois dire que je ne faisais pas grand chose pour le décourager.
J’étais de plus en plus conquise et très flattée
d’être courtisée par un si bel homme. Cet imbécile
de julien ne s’apercevait de rien, pourtant certaines allusions de Paul
étaient à peine voilées. Lorsque Julien dit "Martine
on va prendre le café dans le salon et pendant que tu prépare
les tasses je vais faire la vaisselle".
Il me jetait carrément dans ses bras car j’étais prête
à succomber aux avances de son chef.
Il n’était pas rendu à la cuisine que Paul me prit par
la taille pour m’embrasser dans le cou. Très excitée je
l’embrassais sur la bouche. Nous étions affalés sur le
canapé quand j’aperçu Julien qui revenait. Instinctivement
je repoussais Paul, et dit "y’a Julien". Mais Julien avait
disparu. Comme pour me rassurer je criais "Tu as besoin d’un coup
de main mon chéri ?". Il me répondit "Non je me débrouille
très bien, reste avec notre invité". J’étais
sûr de l’avoir vu et très étonnée de son
manque de réaction. Nous avions repris une position plus convenable
quand à nouveau j’aperçu Julien qui nous épiait,
cette fois Paul l’avait également vu. J’embrassais Paul
de nouveau et Julien nous épiais, mais pas de réaction. J’avais
une étrange sensation, j’avais à la fois très envie
de faire l’amour avec Paul mais j’étais aussi très
perturbée par la passivité de Julien, d’autant qu’il
nous espionnait toujours.
Pour provoquer sa réaction je décidais de sucer Paul car je
refusais toujours cette faveur à Julien. Je suçais goulûment
la superbe bite de Paul et rien ne se passait sinon que mon amant venait de
jouir dans ma bouche. Je terminais ma fellation et nous reprenions une pose
convenable. Peu de temps après Julien revint, s’excusant de son
retard et prétextant une vaisselle plus grasse que prévue.
Nous primes notre café comme si de rien ne s’était passé.
Il était impossible que Julien nous aient pas vu, alors pourquoi cette
passivité ?. N’aurait il rien dit à cause de cette promotion
?. Ce qui voudrait dire que pour lui je n’étais pas importante.
Puisqu’il en était ainsi pourquoi se priver et je pris Paul par
la main et l’emmenais dans la chambre, non s’en avoir lâchée
à Julien "finit de ranger !, ce soir tu dort sur le canapé
et demain tu nous apporteras le petit déjeuner à 11h".
"Bonne nuit mon chéri". Julien était abasourdi et
encore plus incapable de dire quelque chose.
Je passais une nuit de rêve, Paul m’a fait l’amour comme
un dieu. C’était une nuit magique aux multiples orgasmes. Jamais
je n’avais fait l’amour avec une telle intensité, jamais
un homme m’avait prise comme ça, si bien que je lui ais offert
la virginité de mon anus.
Je suçais Paul quand on frappa à la porte. Il était 11h
et Julien nous apportait le petit déjeuner. "entre" cria
Paul. Il allait faire demi tour quand il s’aperçu que nous étions
occupés mais Paul lui ordonna "reste et attend !". Il était
pathétique et surtout très humilié. Il avait vraiment
l’air idiot avec son plateau dans les mains. Il n’osait pas regarder
et il était très gêné. Moi
ça m’excitait beaucoup de voir ce minable accepté tout
sans rien dire. Je prenais un malin plaisir à prolonger ma fellation
mais Paul au summum du désir se laissa rapidement aller dans ma bouche.
Ce n’est qu’après avoir nettoyée avec gourmandise
la queue de Paul, qu’on autorisa Julien à poser son plateau.
Il s’en allait quand je le rappelais "Ces cafés sont froid
vas les réchauffer !". Il dû donc revenir et c’est
d’un air hautain que nous contemplions sa honte et son humiliation qui
croissaient de seconde en seconde. Par sadisme nous le fîmes revenir
une troisième fois pour qu’il nous débarrassa du plateau.
C’est par provocation que je lâchais "mon chéri"
et quand Julien se retourna, d’un ton méprisant je lui dit "non
c’est à Paul que je parlais, toi tu peux disposer".
Malheureusement Paul devait se rendre à un repas de famille mais nous
nous promîmes de nous revoir.
Je venais de faire cocu mon mari devant ses propres yeux. Il est évident qu’une aventure comme celle ci ne peut que laisser des traces. Nos relations avec Julien s’en trouveraient forcément bouleversées. Mais pour l’instant je n’avais aucune certitude sur la tournure des événements. Comment Julien allait-il encaisser le coup ? Paul voulait-il seulement s’amuser ou avait-il des sentiments pour moi ?
Chapitre II
Le dressage
Avec Paul notre amour croissait, ce voir que le week-end ne nous suffisait
plus. Depuis qu’il était devenu directeur de département
dans son entreprise les Week-ends étaient raccourcis car il avait beaucoup
de travail.
De plus il y avait 80 km entre nos deux domiciles, ce qui compliquait encore
un peu plus les choses. Il fallait trouver une solution car nous voulions
vivre ensemble. Il y avait plusieurs solutions mais laquelle serait la plus
facile à mettre en œuvre ?
Julien supporterait-il toujours cette relation étrange ?
Chapitre III
Et la vocation lui vint
Les nouvelles fonctions de Paul lui prenaient beaucoup de temps et réduisaient
nos moments intimes à une peau de chagrin. Les week-ends commençaient
de plus en plus tard, souvent le samedi après midi pour se terminer
de plus en plus tôt, le dimanche en fin d’après midi. Je
lui avais déjà proposée de s’installer à
la maison qui est à moins de 10 km de l’entreprise. Il avait
longuement hésité à cause de Julien et finalement renoncé.
Il est vrai que ma situation était très délicate, ne
travaillant pas, c’était le salaire de Julien qui me faisait
vivre. Cependant nous avions très envie de nous voir le plus souvent
possible. Paul cherchait un logement pour se rapprocher mais en attendant
la solution c’était l’hôtel.
Julien m’avait dit que la semaine prochaine il serait en stage à
Lyon pour son travail et qu’il ne rentrerait pas avant le samedi vers
17h. Je l’avait prévenu que Paul passerait la semaine à
la maison et qu’à son retour nous serions partis. Ce fût
une semaine de rêve, avec Paul nous avions passés des moments
délicieux. Le samedi nous venions juste de nous réveiller quand
j’entend frapper à la porte de la chambre et aussitôt une
voix dit « petit déjeuner ». C’était Julien
qui nous apportait les croissants et les pains au chocolat avec une tasse
de thé pour moi et un café pour Paul, le tout présenté
impeccablement comme je l’exigeais tous les matins. Nous étions
interloqués par son attitude, il était beaucoup plus à
l’aise que l’autre fois. Paul n’en revenait pas "soit
il à trouvé sa vocation et son rôle de domestique lui
plait, soit c’est pour m’amadouer car il y a des projets très
avancés de licenciement à l’entreprise. Il pourrait effectivement
être licencié si je le décide" je répliquais
aussitôt "soit sympa" "Bon c’est OK il va encore
sauver sa tête".
Le lundi je lui demandais des explications sur son attitude de samedi. Il
me raconta qu’avec le temps il avait finit par accepter la situation.
Qu’il savait très bien que je finirais par épouser Paul
et qu’il ne mettrait pas de bâtons dans les roues pour le divorce.
Il
ajouta également que d’être traité comme un domestique
était pour lui une forme d’expiation de sa faute, mais c’était
aussi le seul lien avec moi qu’il lui restait. Finalement il m’avouait
qu’il aimait bien me servir. "Soit si tu aime me servir, j’ai
une amie qui vient jeudi vers 15h prendre le thé et je te ferais passer
pour mon domestique alors à toi de jouer".
Le jeudi arriva, Julien fît vraiment illusion à tel point que
mon amie me demanda à quelle agence je m’étais adressée
pour avoir un serviteur si zélé. Ce jour là il avait
fait le grand jeu, aucune faute dans le service, aucune faute dans le langage.
Il me parlait toujours à la troisième personne "Madame
est servie" "Madame désire-t-elle encore du thé"
etc... Même moi j’étais impressionnée.
Je fît une seconde expérience avec Patricia. Elle fût également
très épatée "dis donc c’est la classe et en
plus ils lèche les pieds". Ces deux expériences m’encourageaient
à organiser des soirées et il s’améliorait à
chacune d’elle. Il était devenu un domestique très stylé.
Cela faisait trois semaines que Paul s’était installé
à temps complet à la maison quand il apprit sa nomination comme
directeur de l’entreprise. Une semaine après on lui demandait
de liquider le site et de tout faire pour que les licenciements reviennent
le moins cher possible. Il avait six mois pour réussir et après
il prendrait la direction du site de Toulouse.
Alors que la fermeture du site était devenu un secret de polichinelle
Paul convoqua Julien pour lui dire
"Julien tu n’est pas sans savoir que le site va fermer donc tout
le monde va être licencié. Il y aura des reclassements mais pas
pour tout le monde. Donc soit tu te débrouille tout seul ici ou tu
devient notre domestique qui sera payé et déclaré comme
tel. Tu as une semaine pour réfléchir et me donner ta réponse".
Julien sans hésiter répondit "C’est tout réfléchi
je devient votre domestique".
"Bon si c’est ton choix, mais nous exigeons un domestique professionnel
24h/24 et pas seulement lors des soirée. A partir de maintenant Martine,
c’est madame 24h/24. Demain nous rédigerons ton contrat et si
tu es d’accord sur les conditions tu deviendras officiellement notre
domestique".
Le lendemain Julien signa. Immédiatement il assuma son rôle et
intégra facilement que Martine devienne Madame ainsi que Paul devienne
Monsieur. Cela fait maintenant sept ans qu’il est à notre service.
Je me suis mariée avec Paul tout de suite après mon divorce.