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Ma copine enceinte d'un autre. Par Happy cocu

L'histoire que je vais vous raconter maintenant est rigoureusement authentique. Elle est la suite de notre cheminement, et de mon désir profond d'être cocu, non pas dans une relation échangiste, où le terme cocu n'a pas son sens, mais plutôt dans une relation extraconjugale consentie.
L'été dernier, j'avais demandé à Sandrine de sortir en boite seule, et de faire en sorte d'avoir une aventure sexuelle. Je dois préciser que notre fantasme est outre le fait que je sois cocu, est que Sandrine se fasse mettre enceinte par un autre homme. Cela fait 5 ans environ que Sandrine ne prend plus de contraceptif, et donc les conditions sont propices à la réalisation de ce fantasme. Le tout est de savoir jusqu'où on le pousse, et c'est ce que je vais vous raconter maintenant.
Nous sommes au mois de septembre de cette année, je suis entrain de surfer sur mon pc quand Sandrine vient me dire bonne nuit. Comme chaque soir, elle se couche avant moi. Cette fois-ci, je la sens hésitante, elle reste prêt de moi, puis se décide enfin. " Tu te souviens de notre fantasme, et bien je l'ai réalisé. " Très surpris, je la regarde, nous n'avons rien convenu de réaliser ces derniers temps, et l'aventure de juin n'ayant rien donné, je ne vois pas de quoi elle me parle.
" Quel fantasme ?" lui demandais-je. " Et bien tu sais, que je me fasse mettre enceinte, et bien c'est fait. " " Je pense que j'ai dû blêmir, car elle me demanda si ça allait. Je ne l'ai pas cru un instant, mais je posais quand même quelques questions. Devant mon incrédulité, elle sortit de la pièce et revint avec à la main un papier. Je m'empresse de le lire. Un papier à l'entête de l'hôpital, une consultation révélant un état de grossesse positive. Il me fallut le relire au moins 10 fois avant d'être sûr qu'il s'agissait d'elle, que c'était son nom, que c'était bien elle, et qu'elle était bien enceinte. Au départ j'ai très mal pris la chose, il était convenu que je sois au courant de ses sorties et rencontres, mais là rien. Je lui dis " Mais tu m'as dit que le mec de juin ça n'avait pas marché, c'est pas possible… " " Et bien après celui de la boite de nuit, j'ai rencontré un autre homme ". Inutile de vous dire que j'étais sur le cul, heureusement que j'étais assis. Jamais Sandrine n'avait fait de rencontre extraconjugale sans qu'elles soient convenues entre nous avant. Elle me dit qu'elle savait à quel point je voulais être cocu, et qu'elle l'avait fait à mon insu, afin de me faire réellement cocu et qu'elle pensait que de cette manière ça me ferait plaisir. En fait de plaisir, je me sentis très frustré, et très cocu. Ma première réaction fut la colère, puis en réfléchissant, je me dis que finalement, elle n'avait que réalisé mon fantasme profond. J'aurais aimé assister à son accouplement, et suivre les évènements, c'est ce qui me donnait cette sensation de frustration, et à la fois d'excitation, car maintenant elle devait tout me raconter, et surtout nous devions envisager la suite à donner.
Contrairement à ce que j'imaginais, sa rencontre avec son partenaire c'était déroulée banalement dans une grande surface, où selon ses dires après l'avoir rencontré plusieurs fois dans le magasin, il l'avait draguée. Au départ, elle refusa les avances de cet homme, puis pensant me faire une agréable surprise, elle avait accepté une rencontre. C'était 15 jours après celui de la discothèque au mois de juin, " J'étais en pleine période d'ovulation, et j'ai pensé que ça pouvait marcher. " Ils se sont donc donnés rendez-vous après son travail, et elle l'a rejoint dans un lieu convenu lors de leur rencontre. Pour l'occasion, elle avait pris une tenue plutôt sexy. Une mini jupe sous laquelle elle portait un string, des talons hauts, et un petit haut. Rien que de l'imaginer dans cette tenue m'excitait beaucoup, mais la suite allait m'exciter davantage. " Nous nous sommes retrouvés à l'endroit convenu, je suis montée dans sa voiture. Nous avons discuté un moment, puis il m'a caressé les jambes, en même temps, je caressais son sexe à travers son pantalon. Puis il a commencé à se déshabiller, et lorsqu'il fut nu, il entrepris de me déshabiller aussi. Je le masturbais pendant qu'il m'ôtait mes vêtements, son sexe était très dur, légèrement recourbé vers le haut. Je lui ai tiré le prépuce très fort, pour accentuer son érection, la peau se découvrait très loin, et son gland était épais, très rouge. Il avait les testicules rasés, et très pendantes, je les lui ai malaxé un long moment aussi. Lorsque je fus nue à mon tour, je l'ai sucé assez longtemps. Je dois avoué que j'en avais très envie, à la fois parce que son sexe m'excitait, et aussi parce que j'avais vraiment la sensation de te tromper. Il a du sentir sa jouissance venir, car il m'a arrêté, et sans avoir le temps de me rendre cette caresse buccale, il s'est allongé sur moi, me pénétrant de toute sa longueur. Il était très excité, et ses mouvements très rapides et brusques. J'ai senti qu'il ralentissait, il s'est même arrêté de bouger. Alors j'ai senti son gland grossir, et des contractions dans sa verge. Devinant qu'il allait se vider en moi, j'ai joui au même instant, j'ai senti la chaleur de son sperme arriver dans mon ventre, il ne m'avait pas demandé si j'étais d'accord pour qu'il jouisse en moi. Mais tu sais dans ces moments d'excitation, tu ne te poses pas de question, tu vas jusqu'au bout. Il s'est vidé longtemps en moi, et est resté comme ça sans bouger un long moment. Moi j'étais heureuse, je t'avais fait cocu. Je me posais ensuite la question de savoir comment j'allais te le dire et quand. " " Pourquoi tu ne me l'as pas dit le jour même ? " " Je sais pas je craignais un peu ta réaction, et puis pendant le temps qui passait, tu étais toujours cocu. " " Tu l'as revu ? " " Non jamais, ça a était la première et dernière fois que je l'ai vu et je n'ai vu personne après cela. "
Son récit m'avait émoustillé, et finalement j'étais ravi, pour la première fois, sans que je lui demande quoi que ce soit, elle avait agi seule, et s'était donnée comme une vraie salope à cet inconnu.
" Et maintenant, on fait quoi ? " lui demandais-je. La réponse fut sans appel. " On ne peut rien faire, ça fait plus de 10 semaines maintenant, je ne peux plus me faire avorter ". Là je dois dire que je fus liquéfié, je passais par toutes les couleurs de l'arc en ciel. Dans mon esprit, elle devait se faire mettre enceinte devant moi, et se faire avorter ensuite, rien ne s'était passé comme il était prévu.
" Voilà tu sais tout, bon je monte me coucher " Elle me dit ça comme si elle revenait d'un repas de travail. " Tu veux dire que tu vas avoir un enfant de ce type sans rien faire ? " " Je ne vois pas ce que je pourrais faire, tu as eu ce que tu voulais non ? " Son ton était presque froid, sans réplique possible, il ne me restait plus qu'à me faire une raison. " Mais pourquoi tu ne m'en as pas parlé avant, on aurait pu tout arrêté ? " " Et bien j'y ai pensé évidement, et puis je me suis dit que si je te l'annonçais lorsque le délai d'avortement serait passé, ça te plairait encore plus. " " Je ne sais pas quoi penser, tu aurais du m'en parler, je voulais que tu sois enceinte, mais là c'est toute ma vie que je vais être cocu, en étant pas le père de cet enfant. " " Je sais, mais qu'est-ce que ça change, que ce soit ta graine ou celle d'un autre, ce sera ton enfant quand même. " Le sujet était clos pour Sandrine, contrairement à ce que je pensais, elle prenait cet enfant comme le mien, pour elle la question de la graine n'était pas si importante que ça. Pas vraiment pour moi. Lorsque je lui sortis mon dernier argument, sur le fais que j'aurais aimé être présent lorsqu'elle se ferait couvrir, elle me répondit juste : " On le refera si tu veux en ta présence cette fois ". Ce qui laissa supposer que mes éventuels futurs enfants ne seraient pas non plus de moi. Moi qui rêvais d'être cocu, on ne pouvait guère faire mieux. Sandrine était devenue une véritable salope ou l'homme qui la couvrait n'avait pas d'importance du moment qu'elle vivait avec moi.
Aujourd'hui Sandrine est enceinte de 5 mois et demi, je prends beaucoup de plaisir à caresser son ventre gonflé, j'ai accepté l'idée d'être cocu jusqu'à ce point, et je dois avouer que j'y prends un plaisir énorme. Aujourd'hui nous avons décidé que les enfants que nous aurons seront de pères inconnus, et que Sandrine choisirait si elle se fait prendre en ma présence ou non. Nous avons aussi convenu qu'après son accouchement, Sandrine prendra un amant attitré, et se donnera à lui tous les jours. Quelque part j'en souffre, quelque part j'en jouis, c'est sans doute ça le plaisir d'être Cocu.


Happycocu


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