Souvenirs Gabonais | Par Anne 30 ans |
L’EPICIER LIBANAIS
J’étais installée à Libreville, au Gabon depuis quelques
mois. Mon mari cadre de direction dans une grosse entreprise de commerce de
la place, passait beaucoup de temps à son travail, moi à la maison
à m’occuper de deux enfants en bas âges, aidée par
une ménagère africaine qui ne venait que le matin. Nous avions
un logement agréable, loin du bruit et de l’agitation de la ville,
notre vie intime était réglée, rien d’exceptionnel
à 30 ans, après 7 ans de mariage. Je voyais la routine s’installer,
mon mari aussi car un jour il me demanda de coucher avec d’autres types.
Sur le coup je dis non ! J’étais contre ce genre de choses.
Nous en étions restés là.
Un jour que mon mari faisait des courses avec moi chez le petit épicier
libanais que nous avions en dessous de la maison, il me fit remarquer que je
devais être au goût de ce dernier, vu les regards qu’il me
jetait.
En effet Issam, c’était son nom, était toujours déférent
à mon égard. Je n’y avais pas porté plus d’attention
que çà, non pas que l’individu soit insignifiant, mais il
avait une réputation de coureur dans le quartier et se vantait facilement
de ses conquêtes. Ce qui est désagréable dans certains cas,
une de nos voisines en avait fait la triste expérience quelques mois
avant, son mari en découvrant sa liaison avec Issam, et l’avait
virée.
Issam, pas mal de sa personne, devait avoir la quarantaine, très brun,
libanais chiite, marié, couvert de bijoux en or, très ostentatoires
! .
Je descendais souvent faire des compléments de courses, seule, dans la
journée, comme je n’étais pas loin de la maison, j’étais
habillée léger compte tenu du temps très chaud et humide.
Ma tenue était souvent un tee-shirt que ma poitrine encore agressive
après deux allaitements, tendait généreusement et un short
sexy(qui plaisait à mon mari, me voyant très excitante dedans)
en éponge très réduit, mais avec un petit slip en dessous.
Un soir que mon mari n’était pas encore rentré, j’avais
laissé les deux enfants chez la petite voisine qui servait parfois de
nounou et étais partie chez Issam acheter quelques bricoles.
Il était dans le magasin, un de ses parents à la caisse, lorsqu’il
me vit, il me salua et je remarquais son regard sur ma tenue.
Je passais dans les rayons, il me suivit et pendant que je me penchais pour
prendre une boite dans une rangée basse, montrant mon cul, mes fesses
bien séparées par le peu de tissu-éponge, je le sentis
derrière moi.
Très vite il se colla contre moi, ses mains englobant mes seins et les
pétrissant, sa bouche dans mon cou, chuchotant :
· Ne bouge pas j’ai envie de toi depuis longtemps ! Tu es belle
!
Je ne bougeais pas, surprise par l’attaque et de peur que son parent nous
voie.
Je sentais son sexe gonfler à force de se frotter sur mes fesses.
Il m’attira vers son bureau en lançant un ordre en arabe à
son parent.
Une fois dans son bureau il entreprit de m’embrasser, je le repoussais
et lui dis que je ne voulais pas que tout le quartier soit au courant ! Il me
promit que l’exemple de l’autre fois lui avait servi de leçon.
Il revint à la charge cette fois ci je participais. Ses mains se glissèrent
sous le tee-shirt qui gicla en un tour de main au sol. Il entreprit d’éliminer
le short et le slip qui suivirent le même chemin que le tee-shirt : Le
sol!
J’étais nue entre ses mains, il parcourait mon corps de caresses
légères, ses doigts s’insinuèrent entre mes cuisses,
forçant mon intimité et écartant mes petites lèvres,
j’entendis mon sexe « chanter » tellement ma mouille était
abondante, gênée par cet accord et aveu de mon plaisir.
Je décidais de participer un peu plus en commençant à le
déshabiller, je lui fis glisser sa chemise sur un torse velu, puis dégrafer
son pantalon et sortir de son slip un sexe long et épais très
brun, au gland énorme, rose turgescent. Il me pousse aux épaules
pour me mettre à genoux, je comprends la caresse qu’il attend et
prend sa bite déjà dure dans ma bouche jouant avec la hampe et
ma langue, le branlant d’une main, l’autre caressant ses couilles.
N’en pouvant plus il éclate dans ma gorge, retenant ma tête
je n’ai pas le temps de me reculer et doit tout avaler.
Il me fait lécher et sucer encore un moment pour rendurcir son membre.
Lorsqu’il est à point il me couche sur le canapé de son
bureau et plonge sa tête dans mon entrecuisse, écartant au maximum
mes jambes profitant de cette vision intime et pénétrant sa langue
dans mon con. J’agite mon bassin, heureuse de la caresse, mouillant de
plus en plus, geignant, offerte à l’Arabe.
· Je lui dis viens ! Prend moi à fond !
Il s’exécute, présente son gland à l’entrée
de ma chatte et d’un magistral coup de reins s’introduit en moi.
Je pousse un long feulement de satisfaction et réponds par une agitation
de mon bassin aux coups de boutoirs qu’il m’administre.
Je m’accroche à son cou, l’embrasse profondément et
violemment, encercle ses reins de mes jambes.
Je crie ma satisfaction.
· Ouiii ! Encore, j’aime ta queue, elle fouille bien !
· Vas y crache ton jus.
Issam n’est pas en reste :
· Tu es une chienne ! Salope, tu vas m’appartenir !
· Oui, je le veux, tape fort, je vais être à toi !
Excité par mon attitude aussi coopérative, il ne peut résister
plus longtemps, je sens ses fesses se crisper et de longs jets de sperme brûlant
inonder généreusement mon ventre.
Il reste fiché en moi quelques instants et se retire, m’octroyant
une caresse sur les seins.
Il me passe une boîte de kleenex pour nettoyer mon vagin dégoulinant
de son jus.
Le canapé étant étroit je me mets « en grenouille
», les talons sous les fesses et les cuisses écartées, livrant
mon sexe encore humide et rouge de l’assaut au regard d’Issam. Il
ne peut résister et tend la main pour caresser ma chatte et ses petits
poils encore englués, il titille mon clitoris, je ferme les yeux et agite
doucement mon bassin. Avec sa deuxième main il entreprend d’agacer
mes seins, je gémis de plus en plus fort, lorsque je rouvre les yeux
je constate que l’Arabe a reprit une virilité digne de ce nom !
Il me demande de me mettre à quatre pattes. J’obtempère
de suite lui présentant au bord du canapé mon cul, les bras croisés
sur le dossier. Il me passe sa main dans la raie culière, active ses
doigts autour de mon petit trou qu’il pénètre, et agrandit.
Il s’installe ensuite derrière moi et entreprend de faire glisser
son gland à travers mon sphincter. Il y arrive vite et bientôt
je pince mes lèvres pour ne pas crier mon plaisir qui monte. Il attrape
mes hanches dans ses mains et donne de grands coups de reins, ses cuisses claquants
sur mes fesses et ses couilles battant sur mon con encore turgescent depuis
tout à l’heure. J’agite de plus en plus vite mon bassin et
mes reins. Je crie.
· Oui vas-y tape fort, à fond !
Nous explosons en même temps notre plaisir et Issam m’inonde les
intestins de son jus, fiché de toute sa longueur en moi. Après
quelques instants de calme il se retire avec une petite claque sur mes fesses.
Je me rhabille en vitesse, il m’embrasse encore une fois et je sors sans
payer mes courses devant son parent goguenard.
En rentrant, je trouve mon mari de retour de son travail, je me fais chatte,
imprégnée encore des odeurs de cet accouplement rapide, je sens
dans mon ventre la chaleur de la pine d’Issam et de sa liqueur. Ce soir
je vais baiser avec mon mari et lui dire qu’il peut être content
de moi, j’ai fais ce qu’il voulait. Mais je suis bien décidée
à profiter encore d’Issam, avec ou sans son accord.
Anne.